samedi 29 mars 2008

Les TIC

A l’intersection de la stratégie et de l’outil il y a les TIC

  • Un moyen de se différencier par rapport à la concurrence

Des techniques utilisées dans le traitement et la transmission des informations, principalement l'informatique, l'Internet et les télécommunications.
Les connaître, les utiliser dans des processus existants ou créer de nouveaux processus afin de mieux répondre à la stratégie.
Les TIC augmentent la vitesse des échanges donc augmentent la pression au travail, mais elles le simplifient et l’enrichissent en même temps. Elles développent les marges d’autonomie et accroissent la charge mentale.
Nous gagnons une hausse de la productivité, donc une baisse des coûts, une amélioration de l'efficacité, une organisation moins hiérarchisée, un partage de l'information qui nous mène à la transversalité.

  • La rentabilité

Elle génère des coûts : matériel, logiciel, maintenance et formation du personnel. Attention au suréquipement duquel résulterait une sous-utilisation. Car le rythme des innovations est soutenu (18 mois) alors que la durée minimale d'amortissement est de 5 à 7 ans. De plus la rentabilité est souvent difficilement quantifiable.

lundi 24 mars 2008

La maîtrise de chacun des éléments séparés

Elle est importante, voire indispensable
Mais elle n’implique pas la maîtrise de la puissance du Système d’Information
Elle nécessite aussi la maîtrise de l’interaction de ces éléments

Voici la représentation de ces 5 éléments que j’ai choisis


Qui permet de mieux comprendre les interactions entre les éléments

jeudi 20 mars 2008

Les processus

Avant de voir l’amélioration des processus : revenons un instant à la définition d’un système d’information donné par Gérard JEAN dans “ Urbanisation du Business et des SI ” :
“ Le système d’information désigne l’ensemble des outils et méthodes pour exécuter et piloter les processus de l’entreprise. ” donc sans processus pas de système d’information.

  • Les gains
Dans un processus il y a un élément d’entrée et un élément de sortie, le ratio du gain se mesure entre les 2.

  • L’industrialisation
L’industrialisation concerne tous les processus : aussi bien les métier de l’entreprise et que ceux de la DSI.
L’industrialisation est là pour réduire les taches répétitives et permettre aux utilisateurs de se concentrer sur les taches les plus importantes, à plus forte valeur ajoutée.
Le Workflow est souvent considérer comme l’automatisation de tout ou partie d’un processus métier mais il peut en être uniquement la description.

dimanche 16 mars 2008

La connaissance

  • La création

Avant de pouvoir la partager il faut qu’elle existe.
Il faut la construire, l’accumuler.
La connaissance du progiciel, du moins des modules que nous utilisons est indispensable. Un progiciel connu également en dehors de l’entreprise permettra de construire plus de connaissance car nous pouvons en récupérer à l’extérieur.

Seul l’Homme est capable de transformer l'information en connaissance.

  • Le partage

Une fois qu’elle existe, il faut la rendre disponible pour permettre son partage, son utilisation.
La transmettre : c’est la formation. Cependant comme le dit Philippe Carré dans L’Apprenance : “ Vous ne retenez pas ce qu’on vous a enseigné mais ce que vous avez appris ”.

L’écart entre ce qui est enseigné et ce qui a été appris peut être très significatif !

mardi 4 mars 2008

Les utilisateurs

  • Les différents utilisateurs

Tous les membres de l’entreprise sont des utilisateurs car chacun utilise le SI à sa manière, du management aux opérationnels.

Il y a différentes catégories d’utilisateur :
  1. L’utilisateur qui alimente le SI,
  2. Le manager qui exploite l’information,
  3. Le développeur qui maintient le SI,
  4. Les utilisateurs clé qui alimentent, qui exploitent et qui maintiennent le SI.

Un des rôles de la maintenance est de faire évoluer les utilisateurs donc de les former.

Deux qualités sont nécessaires à tous les utilisateurs : le doute et l’humilité, car il n’y a rien de pire qu’un utilisateur qui pense savoir et qui fonce tête baissée dans le mur.

  • L’amélioration de la fiabilité des données :

Le zéro erreur n’existe pas, nous pouvons seulement nous en approcher. Le point le plus faible dans la fiabilité des données est souvent l'utilisateur.
Pour nous en rapprocher nous devons par contre profiter de chacune des anomalies détectées.

Pour chaque anomalie :
  1. elle doit déjà être corrigée dans un premier temps.
  2. Puis un contrôle en masse doit être effectué pour être certain que cette erreur ne s’est pas déjà produite.
  3. Et enfin tous les acteurs du processus concerné doivent être informés pour construire ensemble les éléments de prévention de ce phénomène.
 
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