jeudi 29 mai 2008

La Business Intelligence

A l’intersection des processus, de la stratégie et de l’outil il y a la Business Intelligence.

Elle comprend plusieurs étapes :
  1. La collecte des donnés.
  2. Le stockage : base de donnée.
  3. L’exploitation : portail décisionnel, datamining, requêteur.

  • Industrialisation du tableau de bord

Il est nécessaire de valoriser les informations disponibles et le temps qui ne sera plus consacré à la recherche des informations pourra l’être à la décision. c’est l’industrialisation des tableaux de bord.

La BI permet le pilotage en temps réel de la performance et de faire des extrapolations de tendance. Les seuils d’alerte dynamique préviennent les managers et les utilisateurs finaux.

Mais attention la BI ne traite que les données structurées qui représentent seulement 20% du volume d’information. Les données non structurées sont traités par le KM.

vendredi 23 mai 2008

Le Knowledge Management

A l’intersection de la connaissance, des processus et de la stratégie il y a le Knowledge Management

  • La gestion des savoirs
Nous pouvons dissocier en quatre étape la gestion des savoirs ou management de la connaissance, voir ingénierie de la connaissance : l’identification du besoin, la production, la diffusion, et la constante évolution.

  • Le réseau
Le réseau (d’experts) est le réceptacle organisationnel de l’intelligence collective. Personne ne sait tout et tout le monde sait quelque chose, la pluridisciplinarité est incontournable et cela mène à la transversalité.
  • L’objectif collectif
La capitalisation de connaissance n’est pas un problème technique mais un problème organisationnel car il faut inciter au partage et mettre en adéquation les objectifs collectifs et individuels. Il est possible de diffuser des erreurs pour ne pas les reproduire mais dans un périmètre restreint.

Mais rappelons nous que le partage d’objet est différent du partage d’idée : si je vous donne un œuf, vous l’avez et je ne l’ai plus, mais si je vous donne une idée, nous l’avons tous.

vendredi 16 mai 2008

Le métier

A l’intersection des utilisateurs, de la connaissance et des processus il y a le métier.

  • Les experts
Les experts ce sont des utilisateurs qui ont du « métier », c’est à dire qui connaissent le processus indépendamment de l’outil qui pourront donc œuvrer pour la mise en adéquation du besoin et de l’outil.

  • Les utilisateurs clés

C’est parmi ces experts métier que nous trouverons les utilisateurs clé.
C’est le savant mélange entre la connaissance du métier et du système qui permettra d’obtenir les meilleurs processus.
Ces utilisateurs clé nous aiderons à identifier les activités à plus fortes valeur ajoutée qui seront prioritaires dans leur amélioration.

lundi 12 mai 2008

L'implication

A l’intersection de l’outil, des utilisateurs et de la connaissance il y a l’implication

  • La motivation
Une fois l’outil approprié et la connaissance transformée en compétence, il ne reste plus que la variable motivation pour obtenir un utilisateur impliqué.
Nous pouvons développer la motivation mais aussi réduire les freins (peurs), ou abaisser le seuil d’implication : c'est à dire simplifier.

  • Les niveaux
Nous pouvons distinguer 4 niveaux d’implication :
L’inactif : il est dans le groupe mais ne suit pas trop ce qui se passe.
L’observateur : il n'agit pas directement pour le groupe mais le suit avec intérêt.
Le réactif : il agit en réaction à une demande?
Le Proactif : il prend des initiatives (leur nombre donne une indication de la maturité).

lundi 5 mai 2008

Le changement

A l’intersection de la stratégie, de l’outil et des utilisateurs il y a le changement.
  • La définition
C’est le passage d’un état « stable » d’organisation à un autre état stable.
Il est essentiel de trouver un équilibre entre la nécessité d’un changement et l’impact négatif de ce changement. Chaque composant de l’infrastructure peut avoir et a souvent un impact très fort sur les autres composants et tout changement sur un composant réclame une coordination.
  • Les 5 critères de réussite
- Le leader légitimé : il doit donner du sens
- Les experts métiers : ils sont les gardiens de la cohérence des pratiques métier avec le nouvel outil.
- La dynamique métier : il faut créer une cohérence entre les besoins terrain, les processus cible et le paramétrage de l’outil.
- Un cadre formel d’action : un planning commun permettant de synchroniser les travaux à réaliser pour fédérer les actions et les communiquer à l’ensemble du groupe.
- Un référentiel commun : il a pour but de faire fonctionner tous les services assurant le même métier, de la même manière, à quelques variantes près : issues du passé, des habitudes, de la culture, de la langue et des contraintes juridiques locales .
 
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